Variété indica légendaire – Relaxante, puissante et facile à cultiver !
Type de variété | Indica pure |
Teneur en THC | 16 % – 21 % |
Temps de floraison | 8 – 9 semaines |
Effet | Relaxant, sédatif, apaisant |
Origine | Afghani x Thaï |
Écoute, la Northern Lights est une légende. Si le cannabis avait un temple de la renommée, elle serait juste à l’entrée, en première place. J’ai essayé de la cultiver chez moi une fois (tu sais, en pot, pas dans le jardin), et franchement, c’était plus facile que de monter une table IKEA. Bon, j’ai presque fait sécher quelques feuilles au début, mais c’est une petite costaud qui m’a pardonné toutes mes erreurs.
Northern Lights, c’est une indica classique, comme une couverture un soir d’automne. Son effet est ultra relaxant, tu t’assois et voilà — tu n’as plus besoin d’aller nulle part, personne ne t’agace, tu peux juste être là. Certains disent même que c’est parfait après une dure journée, et je ne peux qu’approuver. Dormir après, c’est comme tomber dans un nuage.
Ce qui est cool aussi, c’est qu’elle n’est pas très exigeante. Pas besoin de compétences incroyables, donc si tu es débutant, n’aie pas peur. Et son odeur est agréable, pas trop forte, légèrement sucrée, avec des épices... difficile à expliquer, il faut la vivre. Le principal, c’est de ne pas en faire trop : elle aime l’attention, mais sans drame.
En bref, si tu cherches des graines pour bien commencer, ou si tu veux juste une classique qui a fait ses preuves, choisis la Northern Lights. C’est comme le premier riff de guitare que tout le monde apprend — simple, mais qui sonne incroyablement bien.
Type | Indica Autofloraison |
Cycle | 9 – 10 semaines |
Rendement | 300 – 400g/m² |
THC | Jusqu’à 20% |
Facilité | Idéal pour débutants |
Écoute, la Northern Lights auto est une vraie trouvaille. Si tu n’es pas agronome avec 20 ans d’expérience et que tu veux juste cultiver un beau bud sans prise de tête, alors c’est l’option parfaite. La première fois que j’ai essayé des graines autofloraison, je pensais que ça allait suivre le scénario classique : soit elles brûleraient, mourraient, ou ne germeraient pas du tout. Mais non, la Northern Lights Auto a juste commencé à pousser, comme pour dire : « Frérot, relax, je gère tout. »
Ce qui est cool, c’est qu’elle n’attend pas que tu règles le cycle lumineux ou que tu bidouilles les lampes. Elle fait tout toute seule, à l’heure. C’est comme une machine automatique. Tu la plantes, tu l’arroses, tu lui donnes un peu de nourriture, et tu attends. Elle fleurit d’elle-même, sans chichis. C’est comme mettre une plante en pilote automatique, mais le résultat reste au top.
L’effet ? Eh bien, c’est comme la Northern Lights classique — une pure indica, elle te cloue sur ta chaise, mais agréablement. Ton corps se détend, ta tête ne flotte pas, c’est juste calme, d’une bonne manière. Idéal pour regarder une série ou juste s’allonger en se demandant pourquoi les chats sont des créatures si étranges.
Et un dernier truc — elle est petite. Pas défectueuse, mais compacte. Elle ne prend pas la moitié de la pièce, donc tu peux la garder sur le balcon, dans un placard, ou même sur le rebord de la fenêtre, si tes voisins ne râlent pas. L’odeur est modérée, ça ne sentira pas dans tout le quartier, donc pas de souci.
En résumé, la Northern Lights Auto, c’est comme ton premier vélo avec des petites roues. Difficile de se planter, et le plaisir est bien là. Parfaite pour les débutants, et aussi super pour ceux qui ne veulent pas attendre six mois. Je l’ai testée plusieurs fois, jamais regretté.
Type | Indica Féminisée |
THC | Jusqu’à 22% |
Rendement | 500g/m² |
Floraison | 8 semaines |
Stabilité | 99% Femelles |
Écoute, si tu cherches quelque chose qui ne te laissera pas tomber et qui ne te surprendra pas avec un mâle dans ton pot, prends les Northern Lights féminisées. Sérieusement, c’est presque de la triche — tu les plantes et tu es presque sûr d’avoir des filles, donc des buds normaux, pas de la poussière.
C’est la variété avec laquelle j’ai commencé quand je me suis mis aux graines féminisées. Pourquoi ? Parce que tout le monde la recommande, et c’est un vrai classique. Elle n’est pas difficile et ne nécessite pas un doctorat en botanique. Je l’ai même cultivée sans pH-mètre — bon, je ne suis pas fier, mais je ne me plains pas non plus. Elle a poussé, fleuri, senti juste comme il faut, puis m’a offert une jolie récolte.
L’effet est une pure indica dans la meilleure tradition. C’est comme si tu t’asseyais et t’enfonçais dans un fauteuil. Ton corps est en vacances, ton cerveau relaxé. Parfait après une journée où tout t’énerve et où tu veux juste le silence et que personne ne te dérange. Dormir sous son effet, c’est le meilleur, tu t’endors comme un bébé, sans le nez qui coule ni les pleurs.
Elle met un peu plus de temps à pousser que l’auto, bien sûr, mais tu contrôles tout — quand elle végète, quand elle fleurit, tu peux ajuster la taille du buisson à ta guise. Si tu as envie de t’amuser avec des techniques d’entraînement comme le LST, c’est exactement ça qu’il te faut. Northern Lights est patiente, comme une grand-mère qui en a vu d’autres.
L’odeur ? Agréable. Un peu sucrée, un peu terreuse, pas trop forte, mais plaisante et évocatrice. Les buds sont denses, cristallisés, exactement comme sur les photos. Le goût est doux, sans agressivité, tu tires une bouffée et tu sens la journée s’effacer doucement.
En bref, si tu veux une option fiable sans prise de tête, mais avec du plaisir, les Northern Lights Féminisées sont un must. Surtout si tu ne veux pas deviner si tu vas faire pousser un mâle ou une femelle. Ici, tout est sérieux et sans drame.
Génétique | Hybride Indica Classique |
Sexe | Mâle & Femelle |
Cultivateurs | Avancés & Éleveurs |
THC | 16 – 20% |
Utilisation | Hybridation |
Écoute, Northern Lights Regular, c’est comme une bonne vieille cassette qui sonne encore mieux que la moitié des services de streaming actuels. Ce n’est pas la dernière mode ou une copie, c’est l’original, le progeniteur, old school. C’est un frisson et un peu une loterie — parce que oui, il y a des mâles et des femelles qui poussent. Mais honnêtement, ça a son charme.
J’ai décidé de faire les choses à fond, alors je suis parti sur les régulières. Je voulais vivre tout le cycle, comme les anciens cultivateurs — avec sélection, observation, et ce moment où tu regardes le buisson en te disant : « Oui, on voit bien ici — la fille arrive ». Et parfois c’est l’inverse, tu attends et tu attends, et au final, c’est juste du pollen qui te vole au visage.
Mais sérieusement, même les régulières se comportent bien avec Northern Lights. Elles sont robustes, ne cassent pas au moindre courant d’air, ne râlent pas si tu arroses un peu trop ou pas assez. Elles tiennent bon, poussent et font leur boulot. Et les buds sont tels qu’on comprend tout de suite pourquoi cette génétique existe depuis des décennies et ne tombe pas dans l’oubli.
L’effet est classique — il te relaxe complètement, mais sans ce lourd « tomber comme un sac » habituel. Juste calme, cosy, le monde devient plus doux. C’est agréable d’être seul ou de traîner avec des potes. Et en bonus, si tu veux t’amuser avec la sélection, tu peux faire tes propres croisements avec les régulières, récolter du pollen, croiser — tu te sentiras un peu comme le Dr Frankenstein, mais gentil.
En résumé, si tu veux du vrai, pas tout ce modernisme où « tout est déjà décidé pour toi », choisis Northern Lights Regular. Oui, c’est un peu plus de travail, oui, il faut faire attention aux mâles qui pourraient tout polliniser, mais c’est tout le plaisir. C’est comme faire pousser quelque chose de zéro et ensuite dire : « Voilà, je l’ai fait moi-même, avec cœur et âme ».
Lumière | 18/6 en croissance – 12/12 en floraison |
Climat | Intérieur frais et sec |
Nutrition | Engrais modérés |
Hauteur | 100 – 120cm |
Difficulté | Très facile |
Écoute, cultiver Northern Lights, c’est comme cuisiner des pommes de terre : tout le monde flippe au début, puis se dit « Quoi, c’est tout ? ». C’est vraiment une des plus faciles à cultiver. Donc si tu débutes mais que tu veux pas foirer ta première plante, vas-y, tu ne regretteras pas.
Tout commence comme d’habitude — avec le trempage. Moi, je mets généralement la graine dans un verre d’eau pendant environ 12 heures, puis je l’enroule dans une serviette humide et je la place dans un endroit sombre et chaud. Quand la petite racine sort, je la plante dans la terre. Tu peux planter directement dans un pot ou dans une pastille de tourbe, comme tu préfères. L’essentiel, c’est de ne pas trop arroser, sinon tu noies le pauvre bébé au départ.
Quand ça germe, place-la sous la lumière. Northern Lights aime quand il fait clair et chaud, comme dans le sud. Une température autour de 24–26 degrés, c’est parfait. Trop froid, ça ralentit, trop chaud, ça stresse, comme nous tous.
L’arrosage — pas d’excès. Par exemple, moi au début, j’ai déconné, j’arrosais tous les jours, pensant bien faire. Mais la plante, elle disait : « Stop, je bois déjà, laisse-moi tranquille. » Laisse la terre sécher un peu en surface, puis arrose. Grosso modo, une fois tous les deux jours, selon ton humeur.
Fertiliser ? Oui, un peu. Comme une personne, elle ne va pas loin qu’avec de l’eau. D’abord engrais pour la croissance, puis pour la floraison. L’essentiel c’est de ne pas trop en donner. Mieux vaut un peu moins que trop, surtout si c’est ta première fois.
Si tu as une auto, attends tranquille, elle fait tout toute seule. Si tu as des graines féminisées ou régulières, passe la lumière en 12/12 quand le buisson est bien développé. Northern Lights supporte bien les techniques d’entraînement, j’ai testé le LST — elle est vraiment flexible, comme un yogi, mais en vert.
La floraison dure environ 7 à 9 semaines, selon la variété. Les buds sont denses, résineux, et sentent… mmm, bref, tu auras tout de suite envie de faire une photo et de la mettre en fond d’écran.
Mais ne néglige pas le séchage et le rinçage avant la récolte. Une semaine avant, arrose à l’eau claire, sans engrais, laisse bien tout se laver. Ensuite suspends la plante dans un endroit sombre et aéré, et prends ton temps. Mieux vaut attendre deux semaines que de regretter plus tard que les buds sentent l’herbe de jardin.
Livraison | USA & Monde entier |
Moyens de paiement | Crypto, Carte, PayPal |
Garantie | 90% de germination |
Support | Service 24/7 |
Variétés | Plus de 100 strains |
Franchement, acheter des graines de cannabis n’est pas aussi flippant que ça en a l’air. Ce n’est pas un marché noir avec des types louches dans des ruelles sombres. Aujourd’hui, tout est civilisé, joli, et même pratique. Tu vas sur le site, tu choisis ta variété, et bam, en quelques jours t’as une petite enveloppe avec un grand avenir entre les mains.
La première fois que j’ai commandé, j’avais presque l’impression d’une opération secrète. Ouais, bien sûr. Tout est anonyme, dans un emballage neutre, personne ne se doute de rien. La poste ne se doute même pas que tu reçois pas des chaussettes, mais ton futur mini-jardin.
L’essentiel, c’est de savoir ce que tu veux. Si tu veux juste planter et récolter dans quelques mois, prends de l’autofloraison. Si tu veux gérer toi-même la croissance, contrôler les cycles lumineux, prends du féminisé. Si tu veux jouer au sorcier de la culture et faire de la sélection, prends du régulier.
Il y a aussi des variétés pour tous les goûts. Besoin de te relaxer ? Indica. Besoin de te booster ? Sativa. Besoin des deux ? Hybride. C’est aussi simple que choisir une pizza, sauf qu’au lieu du fromage, tu choisis la résine.
Et oui, ne te fais pas avoir par le « pas cher et méchant ». Les bonnes graines valent leur prix. Une fois j’ai acheté un lot « en promo » — au final, sur cinq graines, une seule a germé, et elle était aussi lente que moi un lundi matin. Depuis, je ne prends que dans des banques et sites de confiance.
En résumé, si tu veux acheter des graines, relax, c’est normal. Aujourd’hui c’est plus facile que de choisir une série pour la soirée. Lis un peu, choisis ce qui te plaît, et voilà. Et la culture en elle-même, c’est un autre kiff. C’est comme commencer une plante d’intérieur, mais avec des bonus à la fin.